Passage biblique Il semble que les références ne correspondent à aucun verset dans la version Stephanus 1550.
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Cantique 8Ct 8 (Annotée Neuchâtel)
1 Oh ! que n'es-tu mon frère, allaité des mamelles de ma mère ! Lorsque je te rencontrerais dehors, je pourrais t'embrasser sans qu'on me méprisât.2 Je te conduirais, je t'amènerais à la maison de ma mère ; tu m'instruirais, et je te ferais boire du vin aromatisé, du moût de mes grenades...
3 Que sa main gauche soit sous ma tête et que sa droite m'embrasse !
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, n'éveillez pas, oh ! ne réveillez pas l'amour jusqu'à ce qu'il le veuille.
5 Les villageois : Qui est celle-ci, qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ?Sulammith : Sous le pommier je t'ai réveillé, là où ta mère t'a enfanté avec douleur, là où a souffert celle qui t'a donné le jour.
6 Place-moi comme un sceau sur ton coeur, comme un sceau sur ton bras ; car l'amour est fort comme la mort ; la jalousie est inflexible comme le sépulcre. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Jah.
7 De grandes eaux ne sauraient éteindre l'amour, ni les fleuves le submerger ; quand un homme offrirait tous les biens de sa maison en échange de l'amour, on le repousserait avec mépris.
8 Nous avons une petite soeur, qui n'a pas encore de mamelles. Que ferons-nous de notre soeur le jour où on parlera d'elle ?
9 Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle un couronnement d'argent ; et si elle est une porte, nous la fermerons d'une planche de cèdre.
10 Je suis une muraille, et mes seins sont comme des tours. Aussi ai-je été à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix.
11 A Salomon est advenue une vigne en Baal-Hamon ; il a remis la vigne aux gardiens ; chacun doit apporter pour son fruit mille [sicles] d'argent.
12 Ma vigne, à moi, est devant moi. A toi, Salomon, les mille [sicles], et deux cents aux gardiens de son fruit !
13 Le bien-aimé : Habitante des jardins, mes compagnons sont avides d'entendre ta voix ; fais-la moi entendre !
14 Sulammith : Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à une gazelle ou au faon des biches sur les montagnes des aromates !
Ct 8 (Darby)
1 Oh ! que tu fusses pour moi comme un frère qui ait sucé les mamelles de ma mère ! Si je te trouvais dehors, je t'embrasserais, sans qu'on m'en méprisât.2 Je t'amènerais, je t'introduirais dans la maison de ma mère : tu m'instruirais* ; je te ferais boire du vin aromatisé, du jus de mes grenades.
3 Sa main gauche serait sous ma tête, et sa droite m'embrasserait !
4 Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous, et pourquoi réveilleriez-vous [mon] amour, avant qu'elle le veuille* !
5 Qui est celle-ci qui monte du désert, s'appuyant sur son bien-aimé ? - Je t'ai réveillée sous le pommier : là ta mère t'a enfantée dans les douleurs, là celle qui t'a enfantée a été en travail.
6 Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras ; car l'amour est fort comme la mort, la jalousie, cruelle comme le shéol ; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Jah*.
7 Beaucoup d'eaux ne peuvent éteindre l'amour, et des fleuves ne le submergent pas ; si un homme donnait tous les biens de sa maison pour l'amour, on l'aurait en un profond mépris.
8 Nous avons une petite sœur, et elle n'a pas encore de seins. Que ferons-nous pour notre sœur, au jour qu'on parlera d'elle ?
9 - Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une demeure* d'argent ; et si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre.
10 Je suis une muraille, et mes seins sont des tours ; je fus alors à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix. -
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon : il remit la vigne à des gardiens ; chacun devait apporter pour son fruit mille [pièces] d'argent.
12 Ma vigne, qui est à moi, est devant moi. À toi, Salomon, les mille [pièces] ; et deux cents pour ceux qui en gardent le fruit.
13 Habitante des jardins, les compagnons sont attentifs à ta voix ! Fais que je l'entende !
14 Fuis, mon bien-aimé, et sois semblable à une gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates.
Ct 8 (King James)
1 O that thou wert as my brother, that sucked the breasts of my mother! when I should find thee without, I would kiss thee; yea, I should not be despised.2 I would lead thee, and bring thee into my mother's house, who would instruct me: I would cause thee to drink of spiced wine of the juice of my pomegranate.
3 His left hand should be under my head, and his right hand should embrace me.
4 I charge you, O daughters of Jerusalem, that ye stir not up, nor awake my love, until he please.
5 Who is this that cometh up from the wilderness, leaning upon her beloved? I raised thee up under the apple tree: there thy mother brought thee forth: there she brought thee forth that bare thee.
6 Set me as a seal upon thine heart, as a seal upon thine arm: for love is strong as death; jealousy is cruel as the grave: the coals thereof are coals of fire, which hath a most vehement flame.
7 Many waters cannot quench love, neither can the floods drown it: if a man would give all the substance of his house for love, it would utterly be contemned.
8 We have a little sister, and she hath no breasts: what shall we do for our sister in the day when she shall be spoken for?
9 If she be a wall, we will build upon her a palace of silver: and if she be a door, we will inclose her with boards of cedar.
10 I am a wall, and my breasts like towers: then was I in his eyes as one that found favour.
11 Solomon had a vineyard at Baalhamon; he let out the vineyard unto keepers; every one for the fruit thereof was to bring a thousand pieces of silver.
12 My vineyard, which is mine, is before me: thou, O Solomon, must have a thousand, and those that keep the fruit thereof two hundred.
13 Thou that dwellest in the gardens, the companions hearken to thy voice: cause me to hear it.
14 Make haste, my beloved, and be thou like to a roe or to a young hart upon the mountains of spices.
Ct 8 (Segond 1910)
1 Oh ! Que n'es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais, Et l'on ne me mépriserait pas.2 Je veux te conduire, t'amener à la maison de ma mère ; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades.
3 Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m'embrasse ! -
4 Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. -
5 Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé ? -Je t'ai réveillée sous le pommier ; Là ta mère t'a enfantée, C'est là qu'elle t'a enfantée, qu'elle t'a donné le jour. -
6 Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras ; Car l'amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l'Éternel.
7 Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l'amour, Il ne s'attirerait que le mépris.
8 Nous avons une petite soeur, Qui n'a point encore de mamelles ; Que ferons-nous de notre soeur, Le jour où on la recherchera ?
9 Si elle est un mur, Nous bâtirons sur elle des créneaux d'argent ; Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cèdre. -
10 Je suis un mur, Et mes seins sont comme des tours ; J'ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix.
11 Salomon avait une vigne à Baal Hamon ; Il remit la vigne à des gardiens ; Chacun apportait pour son fruit mille sicles d'argent.
12 Ma vigne, qui est à moi, je la garde. A toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents à ceux qui gardent le fruit ! -
13 Habitante des jardins ! Des amis prêtent l'oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre ! -
14 Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates !
Ct 8 (Segond 21)
1 Si seulement tu étais comme mon frère, si seulement tu avais été allaité par ma mère! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais et l'on ne me mépriserait même pas.2 Je te conduirais, je t'amènerais chez ma mère, tu m'instruirais et je te ferais boire du vin parfumé, du jus de mes grenades.
3 Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m'enlace!
4 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour avant qu'elle ne le veuille!
5 Qui est celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé? Je t'ai réveillé sous le pommier. C'est là que ta mère est tombée enceinte de toi, c'est là qu'elle est tombée enceinte et t'a donné le jour.
6 Fais de moi comme une empreinte sur ton cœur, comme une empreinte sur ton bras, car l'amour est aussi fort que la mort, la passion est aussi inflexible que le séjour des morts. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l'Eternel.
7 Les grandes eaux ne pourront pas éteindre l'amour, ni les fleuves le submerger. Même si un homme offrait tous les biens de sa maison contre l'amour, il ne s'attirerait que le mépris.
8 Nous avons une petite sœur qui n'a pas encore de poitrine. Que ferons-nous de notre sœur, le jour où on la réclamera?
9 Si elle est un rempart, nous construirons sur elle des créneaux en argent; si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre.
10 Je suis un rempart et mes seins sont comme des tours. A ses yeux, j'ai été pareille à celle qui trouve la paix.
11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon. Il a confié la vigne à des gardiens: chacun apportait 1000 pièces d'argent pour récolter son fruit.
12 Ma vigne à moi, je la garde. A toi, Salomon, les 1000 pièces, et 200 à ceux qui gardent son fruit!
13 Habitante des jardins, des compagnons prêtent attention à ta voix. Fais-la-moi entendre!
14 Prends la fuite, mon bien-aimé! Montre-toi pareil à la gazelle ou au jeune cerf sur les montagnes aux aromates!
Ct 8 (Vulgate)
1 [Quis mihi det te fratrem meum, sugentem ubera matris meæ, ut inveniam te foris, et deosculer te, et jam me nemo despiciat ?2 Apprehendam te, et ducam in domum matris meæ : ibi me docebis, et dabo tibi poculum ex vino condito, et mustum malorum granatorum meorum.
3 Læva ejus sub capite meo, et dextera illius amplexabitur me.
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7 Aquæ multæ non potuerunt extinguere caritatem, nec flumina obruent illam. Si dederit homo omnem substantiam domus suæ pro dilectione, quasi nihil despiciet eam.
8
9 Si murus est, ædificemus super eum propugnacula argentea ; si ostium est, compingamus illud tabulis cedrinis.
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La versification des traductions pouvant varier, l'alignement ne correspond parfois pas à la même phrase.
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