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Deutéronome 21:15-17

Dt 21:15-17 (Darby)

15 Si un homme a deux femmes, l'une aimée et l'autre haïe, et qu'elles lui aient enfanté des fils, tant celle qui est aimée que celle qui est haïe, et que le fils premier-né soit de celle qui est haïe,
16 alors, le jour où il fera hériter à ses fils ce qui est à lui, il ne pourra pas faire premier-né le fils de celle qui est aimée, de préférence au fils de celle qui est haïe, lequel est le premier-né ;
17 mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qui est haïe, pour lui donner double portion de tout ce qui se trouvera être à lui ; car il est le commencement de sa vigueur, le droit d'aînesse lui appartient.

Dt 21:15-17 (Segond 1910)

15 Si un homme, qui a deux femmes, aime l'une et n'aime pas l'autre, et s'il en a des fils dont le premier-né soit de la femme qu'il n'aime pas,
16 il ne pourra point, quand il partagera son bien entre ses fils, reconnaître comme premier-né le fils de celle qu'il aime, à la place du fils de celle qu'il n'aime pas, et qui est le premier-né.
17 Mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qu'il n'aime pas, et lui donnera sur son bien une portion double ; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d'aînesse lui appartient.

Dt 21:15-17 (Segond 21)

15 »Supposons qu'un homme, qui a deux femmes, aime l'une mais pas l'autre et qu'il ait des fils dont l'aîné soit de la femme qu'il n'aime pas.
16 Quand il partagera son bien entre ses fils, il ne pourra pas reconnaître comme premier-né le fils de celle qu'il aime à la place du fils de celle qu'il n'aime pas et qui est vraiment l'aîné.
17 Il reconnaîtra au contraire comme premier-né le fils de celle qu'il n'aime pas et il lui donnera une double portion de son bien, car ce fils est le premier de ses enfants. Le droit d'aînesse lui appartient.

Dt 21:15-17 (Vulgate)

15 Si habuerit homo uxores duas, unam dilectam, et alteram odiosam, genuerintque ex eo liberos, et fuerit filius odiosæ primogenitus,
16 volueritque substantiam inter filios suos dividere, non poterit filium dilectæ facere primogenitum, et præferre filio odiosæ :
17 sed filium odiosæ agnoscet primogenitum, dabitque ei de his quæ habuerit cuncta duplicia : iste est enim principium liberorum ejus, et huic debentur primogenita.

Dt 21:15-17 (Codex W. Leningrad)

15 כִּֽי־ תִהְיֶ֨יןָ לְאִ֜ישׁ שְׁתֵּ֣י נָשִׁ֗ים הָאַחַ֤ת אֲהוּבָה֙ וְהָאַחַ֣ת שְׂנוּאָ֔ה וְיָֽלְדוּ־ ל֣וֹ בָנִ֔ים הָאֲהוּבָ֖ה וְהַשְּׂנוּאָ֑ה וְהָיָ֛ה הַבֵּ֥ן הַבְּכ֖וֹר לַשְּׂנִיאָֽה׃
16 וְהָיָ֗ה בְּיוֹם֙ הַנְחִיל֣וֹ אֶת־ בָּנָ֔יו אֵ֥ת אֲשֶׁר־ יִהְיֶ֖ה ל֑וֹ לֹ֣א יוּכַ֗ל לְבַכֵּר֙ אֶת־ בֶּן־ הָ֣אֲהוּבָ֔ה עַל־ פְּנֵ֥י בֶן־ הַשְּׂנוּאָ֖ה הַבְּכֹֽר׃
17 כִּי֩ אֶת־ הַבְּכֹ֨ר בֶּן־ הַשְּׂנוּאָ֜ה יַכִּ֗יר לָ֤תֶת לוֹ֙ פִּ֣י שְׁנַ֔יִם בְּכֹ֥ל אֲשֶׁר־ יִמָּצֵ֖א ל֑וֹ כִּי־ הוּא֙ רֵאשִׁ֣ית אֹנ֔וֹ ל֖וֹ מִשְׁפַּ֥ט הַבְּכֹרָֽה׃

La versification des traductions pouvant varier, l'alignement ne correspond parfois pas à la même phrase.

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