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Jérémie 17:5-11

Jr 17:5-11 (Darby)

5 Ainsi dit l'Éternel : Maudit l'homme qui se confie en l'homme, et qui fait de la chair son bras, et dont le cœur se retire de l'Éternel !
6 Et il sera comme un dénué dans le désert, et il ne verra pas quand le bien arrivera, mais il demeurera dans des lieux secs au désert, dans un pays de sel et inhabité.
7 Béni l'homme qui se confie en l'Éternel, et de qui l'Éternel est la confiance !
8 Il sera comme un arbre planté près des eaux ; et il étendra ses racines vers le courant ; et il ne s'apercevra pas* quand la chaleur viendra, et sa feuille sera [toujours] verte ; et dans l'année de la sécheresse il ne craindra pas, et il ne cessera de porter du fruit.
9 Le cœur est trompeur par-dessus tout, et incurable ; qui le connaît ?
10 Moi, l'Éternel, je sonde le cœur, j'éprouve les reins ; et [cela] pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses actions.
11 Comme la perdrix qui couve ce qu'elle n'a pas pondu, celui qui acquiert des richesses, et non avec droiture, les laissera au milieu de ses jours, et, à sa fin, il sera un insensé.

Jr 17:5-11 (Segond 21)

5 »Voici ce que dit l'Eternel: Maudit soit l'homme qui fait confiance à ce qui est humain, qui prend des créatures pour appui et qui détourne son cœur de l'Eternel!
6 Il est pareil à un genévrier dans la plaine: il ne voit rien venir de bon, il habite les endroits brûlés du désert, une terre salée et sans habitants.
7 »Béni soit l'homme qui fait confiance à l'Eternel et qui place son espérance en lui!
8 Il ressemble à un arbre planté près de l'eau et qui étend ses racines vers le cours d'eau: il ne s'aperçoit pas de la venue de la chaleur et son feuillage reste vert. Lors d'une année de sécheresse, il ne redoute rien et il ne cesse pas de porter du fruit.
9 »Le cœur est tortueux plus que tout, et il est incurable. Qui peut le connaître?
10 Moi, l'Eternel, j'explore le cœur, j'examine les reins pour traiter chacun conformément à sa conduite, au fruit de ses agissements.
11 Celui qui acquiert des richesses injustement est pareil à une perdrix qui couve des œufs qu'elle n'a pas pondus: au milieu de sa vie, celles-ci l'abandonnent et, en fin de compte, il n'aura été qu'un fou.»

La versification des traductions pouvant varier, l'alignement ne correspond parfois pas à la même phrase.

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