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1 Corinthiens 1:18
(Annotée Neuchâtel)
1 Corinthiens 1:18 Car la parole de la croix est une folie à ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est la puissance de Dieu.

Références croisées

1:18 1Co 1:23-24, 1Co 2:2, Ga 6:12-14, Ac 13:41, 2Co 2:15-16, 2Co 4:3, 2Th 2:10, 1Co 1:21, 1Co 1:23, 1Co 1:25, 1Co 2:14, 1Co 3:19, Ac 17:18, Ac 17:32, 1Co 1:24, 1Co 15:2, Ps 110:2-3, Rm 1:16, 2Co 10:4, 1Th 1:5, He 4:12
Réciproques : Ex 15:25, 2R 2:21, 2R 13:17, Es 28:20, Es 53:1, Es 55:11, Jr 8:9, Za 9:15, Mt 6:23, Mt 11:25, Jn 3:4, Jn 3:15, Ac 17:20, Rm 10:17, 1Co 2:6, 1Co 3:18, 1Co 4:10, Ga 5:11, Ph 3:18, 2Tm 1:9, Ap 14:3

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
1 Corinthiens 1
  • 1.18 Car la parole de la croix est une folie à ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est la puissance de Dieu. L'apôtre donne la raison de ce qu'il vient d'affirmer (car), que la sagesse humaine rend vaine la croix. (verset 17)
    La parole de la croix (verset 17, note) est ou une folie, un système qui doit paraître tel à la sagesse incrédule, ou une puissance de Dieu (Romains 1.16, note) qui se manifeste comme telle en répondant à tous les besoins moraux de l'homme et en l'amenant à sa destination éternelle.
    Pour contraster avec folie on aurait attendu : sagesse de Dieu ; mais puissance dit plus encore, et du reste le contraste est complété. (versets 21,24)
    Mais pour qui l'Evangile est-il folie ou puissance ? Ici se trouve un autre contraste que Paul exprime à dessein dans les termes les plus absolus : d'une part, ceux qui périssent, de l'autre, nous qui sommes sauvés, afin de faire vivement sentir qu'il ne reste aucun moyen de salut pour ceux qui rendent vaine la croix de Christ, et que ceux, au contraire, qui en ont éprouvé la puissance, ont, en cela même, un garant de la libre grâce de Dieu qui les a sauvés. (Comparer 2Corinthiens 2.15,16 ; 2Thessaloniciens 2.10)
    Ainsi, le mépris de la simplicité de l'Evangile et de la bassesse de la croix est un signe certain de perdition (sauf repentance) ; les estimer, au contraire, les aimer, en être touché, telle est la véritable marque de ceux qui sont sauvés.