1 Thessaloniciens 2:7-8
(Annotée Neuchâtel)
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mais nous avons été doux au milieu de vous ; comme une nourrice prend un tendre soin de ses propres enfants,
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ainsi, ayant une tendre affection pour vous, nous aurions voulu vous donner, non seulement l'Evangile de Dieu, mais aussi nos propres vies, tant vous nous étiez devenus chers.
Références croisées
2:7 Gn 33:13-14, Es 40:11, Ez 34:14-16, Mt 11:29-30, Jn 21:15-17, 1Co 2:3, 1Co 9:22, 2Co 10:1, 2Co 13:4, Ga 5:22-23, 2Tm 2:24-25, Jc 3:17, 1Th 2:11, Nb 11:12, Es 49:23, Es 66:13, Ac 13:18Réciproques : Gn 47:12, Nb 12:3, Ps 131:1, 1Co 4:21, 1Th 1:10, 1Th 5:14, Tt 3:2
2:8 Jr 13:15-17, Rm 1:11-12, Rm 9:1-3, Rm 10:1, Rm 15:29, 2Co 6:1, 2Co 6:11-13, Ga 4:19, Ph 1:8, Ph 2:25-26, Col 1:28, Col 4:12, He 13:17, Ac 20:23-24, 2Co 12:15, Ph 2:17, 1Jn 3:16, Lc 7:2, Ph 2:20, Ph 4:1, Col 1:7, Phm 1:1
Réciproques : Ex 18:18, Lm 3:41, Ac 16:32, Rm 12:8, 2Co 7:3, 2Co 8:3, 2Co 12:14, Ga 4:15, 1Th 3:12
Notes de la Bible Annotée Neuchâtel
A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations1 Thessaloniciens 2
- 2.7 mais nous avons été doux au milieu de vous ; comme une nourrice prend un tendre soin de ses propres enfants, Luther traduit : "Nous avons été maternel," ce qui est bien en harmonie avec cette belle et touchante image, dont notre version ne rend pas même toute la portée.
Le mot que nous traduisons par prendre un tendre soin signifie proprement "une nourrice qui réchauffe (sur son sein) ses propres enfants."
Cette tendresse paraîtra plus frappante encore si l'on se souvient que l'homme qui l'éprouve occupe la première place parmi les caractères forts et énergiques. (Comparerverset 8
) - 2.8 ainsi, ayant une tendre affection pour vous, nous aurions voulu vous donner, non seulement l'Evangile de Dieu, mais aussi nos propres vies, tant vous nous étiez devenus chers. Pathétique développement et application de l'image de
verset 7
.
"La mère qui nourrit ses enfants montre un rare et merveilleux amour, car elle ne s'épargne ni travaux ni peines ; elle ne se refuse à aucune sollicitude ; aucune assiduité ne la fatigue ; elle livre avec joie son propre sang à son nourrisson. C'est de telles affections que l'apôtre fut rempli envers ses frères de Thessalonique, et il déclare qu'il eût été prêt à donner sa propre vie pour leur bien, parce qu'ils étaient devenus ses bien-aimés (ainsi porte le grec). Il faut se le rappeler sans cesse : quiconque veut être mis au nombre des vrais pasteurs doit aimer les âmes comme Paul les aimait, de sorte que le salut de l'Église lui soit plus précieux que sa propre vie" Calvin.