Lueur.org - Un éclairage sur la foi
2 Corinthiens 12:10
(Annotée Neuchâtel)
2 Corinthiens 12:10 C'est pourquoi je prends plaisir dans les infirmités, dans les opprobres, dans les nécessités, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ ; car lorsque je suis faible, c'est alors que je suis fort.

Références croisées

12:10 2Co 1:4, 2Co 4:8-10, 2Co 4:17, 2Co 7:4, Ac 5:41, Rm 5:3, Rm 8:35-39, Ph 1:29, Ph 2:17-18, Col 1:24, Jc 1:2, 1P 1:6-7, 1P 4:13-14, 2Co 11:23-30, 2Co 4:5, 2Co 4:11, 2Co 10:18, Lc 6:22, Jn 15:21, 1Co 4:10, Ap 2:3, 2Co 12:9, 2Co 13:4, 2Co 13:9, Ep 6:10
Réciproques : Nb 4:44, Dt 3:21, Dt 11:8, Dt 33:25, Jg 7:11, Jg 14:14, 1Ch 16:28, 2Ch 14:11, Jb 17:9, Jb 23:6, Ps 8:2, Ps 18:29, Ps 27:14, Ps 68:28, Ps 73:26, Ps 89:17, Pr 18:14, Ct 8:5, Es 40:29, Es 40:31, Es 43:2, Es 45:24, Dn 10:18, Ha 3:19, Za 12:5, Mt 11:30, Mc 8:35, Lc 6:21, Lc 6:23, Lc 9:26, Lc 21:17, Jn 5:19, Jn 14:1, Ac 9:22, Ac 20:24, Rm 4:20, Rm 7:25, Rm 15:1, Rm 15:30, 1Co 16:13, 2Co 6:4, 2Co 12:5, Ga 6:14, Ph 4:13, Col 1:11, Col 1:29, 1Tm 1:12, 2Tm 1:8, 2Tm 2:1, He 5:2, He 10:33, He 11:26, He 11:34, He 11:37, He 12:5, He 13:13, 1P 3:14

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
2 Corinthiens 12
  • 12.10 C'est pourquoi je prends plaisir dans les infirmités, dans les opprobres, dans les nécessités, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ ; car lorsque je suis faible, c'est alors que je suis fort. Comparer verset 9, note. Paul généralise dans ce verset l'idée des épreuves, afin que l'on ne pense pas que ce soit l'affliction spéciale dont il parle au verset 7 qui seule puisse produire l'effet désirable que Dieu a en vue : déprendre l'homme de toute force propre, pour que la grâce et la force de Christ s'accomplissent en son infirmité.
    "Si quelqu'un objecte qu'ici Paul parle, non de son manque de force, mais de ses diverses afflictions, je réponds que toutes ces souffrances sont des exercices par lesquels Dieu nous manifeste notre faiblesse. Car si le Seigneur n'avait pas exercé son serviteur par tant d'épreuves, jamais ce dernier n'aurait eu un sentiment si vif de son infirmité. Ainsi, il n'a point seulement égard à ses souffrances, mais aussi aux effets qu'elles produisent : la connaissance de notre faiblesse, la défiance de nous-mêmes, l'humilité." Calvin.
    Le dernier mot de ce verset, cet admirable paradoxe n'est autre que la parole du Seigneur, (verset 9) confirmée par l'expérience même de son serviteur.