2 Corinthiens 13:13
(Annotée Neuchâtel)
2 Corinthiens 13:13
La grâce du Seigneur Jésus-Christ, et l'amour de Dieu, et la communion du Saint-Esprit, soient avec vous tous.
Références croisées
13:13 Rm 16:16, Rm 16:21-23, Ph 4:21-22, Phm 1:23-24, He 13:24, 1P 5:13, 2Jn 1:13, 3Jn 1:14Réciproques : 1Co 16:20, Ep 3:18, 2Tm 4:21
Notes de la Bible Annotée Neuchâtel
A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations2 Corinthiens 13
- 13.13 La grâce du Seigneur Jésus-Christ, et l'amour de Dieu, et la communion du Saint-Esprit, soient avec vous tous. Voilà la plénitude des bénédictions du Dieu trois fois saint, trois fois miséricordieux, le Père, le Fils, le Saint-Esprit.
Tout pour l'homme pécheur commence par la grâce du Seigneur Jésus-Christ, qui est le pardon de ses péchés, sa réintégration dans la faveur de Dieu et dans l'alliance éternelle de sa grâce ; c'est pourquoi Paul, contrairement à l'usage constant de l'Ecriture, place ici en premier lieu Jésus-Christ et sa grâce.
La source première de cette grâce, c'est l'amour de Dieu le Père, qui nous a donné un Sauveur qui nous a révélé par là cet amour infini, et qui nous en fait éprouver personnellement la réalité et la puissance, quand nous sommes participants de la grâce.
Tout cela enfin se consomme dans les fidèles par la communion vivante du Saint-Esprit, qui, habitant en eux, les unit avec leur Père céleste en Christ et les uns avec les autres. "Que la grâce vous justifie, vous réconcilie avec Dieu ! que l'amour vous embrase tous comme bien-aimés de Dieu ! que l'Esprit vous sanctifie et vous consacre comme les temples du Dieu vivant et véritable !"
- Ainsi la Trinité divine, insondable mystère pour la raison humaine dès qu'elle veut en faire un objet de vaine spéculation, répond, dans la vie pratique, aux besoins les plus profonds de notre être, et c'est toujours ainsi que l'Ecriture nous la présente. (Matthieu 28.19 ; Jean 14.16,17 ; 1Pierre 1.2
) "Je te célèbre, ô Père ! Seigneur du ciel et de la terre, de ce qu'ayant caché ces choses aux sages et aux intelligents, tu les a révélées aux enfants !"
- Le texte reçu termine ce vœu apostolique par le mot amen, qui manque dans la plupart des manuscrits.