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Ecclésiaste 5DRB 1 Prends garde à ton pied, quand tu vas dans la maison de Dieu, et approche-toi pour entendre, plutôt que pour donner le sacrifice des sots ; car ils ne savent pas qu'ils font mal.
MAR 1 Quand tu entreras dans la maison de Dieu, prends garde à ton pied ; et approche-toi pour ouïr, plutôt que pour donner [ce que donnent] les fous, [savoir] le sacrifice ; car ils ne savent point qu'ils font mal.
S21 1 Ne t'empresse pas d'ouvrir la bouche! Que ton cœur ne se précipite pas pour exprimer une parole devant Dieu! En effet, Dieu est au ciel, et toi sur la terre. Que tes paroles soient donc peu nombreuses!
VULC 1 [Ne temere quid loquaris,
neque cor tuum sit velox ad proferendum sermonem coram Deo.
Deus enim in cælo, et tu super terram ;
idcirco sint pauci sermones tui.
WLC 1 אַל־ תְּבַהֵ֨ל עַל־ פִּ֜יךָ וְלִבְּךָ֧ אַל־ יְמַהֵ֛ר לְהוֹצִ֥יא דָבָ֖ר לִפְנֵ֣י הָאֱלֹהִ֑ים כִּ֣י הָאֱלֹהִ֤ים בַּשָּׁמַ֙יִם֙ וְאַתָּ֣ה עַל־ הָאָ֔רֶץ עַֽל־ כֵּ֛ן יִהְי֥וּ דְבָרֶ֖יךָ מְעַטִּֽים׃
DRB 2 Ne te presse point de ta bouche, et que ton cœur ne se hâte point de proférer une parole devant Dieu ; car Dieu est dans les cieux, et toi sur la terre : c'est pourquoi, que tes paroles soient peu nombreuses.
MAR 2 Ne te précipite point à parler, et que ton cœur ne se hâte point de parler devant Dieu ; car Dieu est au ciel, et toi sur la terre ; c'est pourquoi use de peu de paroles.
S21 2 Oui, les rêves surgissent dans un flot d'occupations, et la voix de l'homme stupide dans un flot de paroles.
VULC 2 Multas curas sequuntur somnia,
et in multis sermonibus invenietur stultitia.
WLC 2 כִּ֛י בָּ֥א הַחֲל֖וֹם בְּרֹ֣ב עִנְיָ֑ן וְק֥וֹל כְּסִ֖יל בְּרֹ֥ב דְּבָרִֽים׃
DRB 3 Car le songe vient de beaucoup d'occupations, et la voix du sot de beaucoup de paroles.
MAR 3 Car [comme] le songe vient de la multitude des occupations ; ainsi la voix des fous sort de la multitude des paroles.
S21 3 Lorsque tu as fait un vœu à Dieu, ne tarde pas à l'accomplir, car il n'aime pas les hommes stupides. Accomplis le vœu que tu as fait!
VULC 3 Si quid vovisti Deo,
ne moreris reddere :
displicet enim ei infidelis et stulta promissio,
sed quodcumque voveris redde :
WLC 3 כַּאֲשֶׁר֩ תִּדֹּ֨ר נֶ֜דֶר לֵֽאלֹהִ֗ים אַל־ תְּאַחֵר֙ לְשַׁלְּמ֔וֹ כִּ֛י אֵ֥ין חֵ֖פֶץ בַּכְּסִילִ֑ים אֵ֥ת אֲשֶׁר־ תִּדֹּ֖ר שַׁלֵּֽם׃
DRB 4 Quand tu auras voué un vœu à Dieu, ne tarde point à l'acquitter ; car il ne prend pas plaisir aux sots : ce que tu auras voué, accomplis-le.
MAR 4 Quand tu auras voué quelque vœu à Dieu, ne diffère point de l'accomplir ; car il ne prend point de plaisir aux fous ; accomplis donc ce que tu auras voué.
S21 4 Mieux vaut pour toi ne pas faire de vœu plutôt que d'en faire un et de ne pas l'accomplir.
VULC 4 multoque melius est non vovere,
quam post votum promissa non reddere.
WLC 4 ט֖וֹב אֲשֶׁ֣ר לֹֽא־ תִדֹּ֑ר מִשֶׁתִּדּ֖וֹר וְלֹ֥א תְשַׁלֵּֽם׃
DRB 5 Mieux vaut que tu ne fasses point de vœu, que d'en faire un et de ne pas l'accomplir.
MAR 5 Il vaut mieux que tu ne fasses point de vœux, que d'en faire, et ne les accomplir point.
S21 5 Ne permets pas à ta bouche de te faire pécher et ne dis pas devant le messager de Dieu que c'est un péché involontaire. Pourquoi Dieu devrait-il s'irriter à cause de tes paroles et détruire le travail de tes mains?
VULC 5 Ne dederis os tuum ut peccare facias carnem tuam,
neque dicas coram angelo :
Non est providentia :
ne forte iratus Deus contra sermones tuos
dissipet cuncta opera manuum tuarum.
WLC 5 אַל־ תִּתֵּ֤ן אֶת־ פִּ֙יךָ֙ לַחֲטִ֣יא אֶת־ בְּשָׂרֶ֔ךָ וְאַל־ תֹּאמַר֙ לִפְנֵ֣י הַמַּלְאָ֔ךְ כִּ֥י שְׁגָגָ֖ה הִ֑יא לָ֣מָּה יִקְצֹ֤ף הָֽאֱלֹהִים֙ עַל־ קוֹלֶ֔ךָ וְחִבֵּ֖ל אֶת־ מַעֲשֵׂ֥ה יָדֶֽיךָ׃
DRB 6 Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis point devant l'ange que c'est une erreur. Pourquoi Dieu se courroucerait-il à ta voix, et détruirait-il l'œuvre de tes mains ?
MAR 6 Ne permets point que ta bouche te fasse pécher, et ne dis point devant le messager [de Dieu], que c'est ignorance. Pourquoi se courroucerait l'Eternel à cause de ta parole, et détruirait-il l'œuvre de tes mains ?
S21 6 Oui, s'il y a des absurdités dans un flot de rêves, il y en a aussi dans un flot de paroles. C'est pourquoi, crains Dieu!
VULC 6 Ubi multa sunt somnia,
plurimæ sunt vanitates, et sermones innumeri ;
tu vero Deum time.]
WLC 6 כִּ֣י בְרֹ֤ב חֲלֹמוֹת֙ וַהֲבָלִ֔ים וּדְבָרִ֖ים הַרְבֵּ֑ה כִּ֥י אֶת־ הָאֱלֹהִ֖ים יְרָֽא׃
DRB 7 Car dans la multitude des songes il y a des vanités, et aussi dans beaucoup de paroles ; mais crains Dieu.
MAR 7 Car [comme] dans la multitude des songes il y a des vanités, aussi y en a-t-il beaucoup dans la multitude des paroles ; mais crains Dieu.
S21 7 Si tu vois dans une province le pauvre opprimé, le droit et la justice violés, ne t'en étonne pas, car un homme de rang élevé est placé sous la surveillance d'un autre de rang plus élevé, et au-dessus d'eux il y en a de rang plus élevé encore.
VULC 7 [Si videris calumnias egenorum, et violenta judicia,
et subverti justitiam in provincia,
non mireris super hoc negotio :
quia excelso excelsior est alius,
et super hos quoque eminentiores sunt alii ;
WLC 7 אִם־ עֹ֣שֶׁק רָ֠שׁ וְגֵ֨זֶל מִשְׁפָּ֤ט וָצֶ֙דֶק֙ תִּרְאֶ֣ה בַמְּדִינָ֔ה אַל־ תִּתְמַ֖הּ עַל־ הַחֵ֑פֶץ כִּ֣י גָבֹ֜הַּ מֵעַ֤ל גָּבֹ֙הַ֙ שֹׁמֵ֔ר וּגְבֹהִ֖ים עֲלֵיהֶֽם׃
DRB 8 Si tu vois le pauvre opprimé et le droit et la justice violentés dans une province, ne t'étonne pas de cela ; car il y en a un qui est haut au-dessus des hauts, [et] qui y prend garde et il y en a de plus hauts qu'eux.
MAR 8 Si tu vois dans la Province qu'on fasse tort au pauvre, et que le droit et la justice [y] soient violés, ne t'étonne point de cela ; car un plus haut élevé que ce haut élevé y prend garde, et il y en a de plus haut élevés qu'eux.
S21 8 Ce qui représente un avantage pour le pays à tout point de vue, c'est un roi qui favorise la culture de la terre.
VULC 8 et insuper universæ terræ rex imperat servienti.
WLC 8 וְיִתְר֥וֹן אֶ֖רֶץ בַּכֹּ֣ל מֶ֥לֶךְ לְשָׂדֶ֖ה נֶעֱבָֽד׃
DRB 9 La terre est profitable à tous égards, le roi même est asservi à la glèbe*.
MAR 9 La terre a de l'avantage par-dessus toutes choses ; le Roi est asservi au champ.
S21 9 Celui qui aime l'argent n'en sera jamais rassasié et celui qui aime les richesses n'en profitera pas. Cela aussi, c'est de la fumée.
VULC 9 Avarus non implebitur pecunia,
et qui amat divitias fructum non capiet ex eis ;
et hoc ergo vanitas.
WLC 9 אֹהֵ֥ב כֶּ֙סֶף֙ לֹא־ יִשְׂבַּ֣ע כֶּ֔סֶף וּמִֽי־ אֹהֵ֥ב בֶּהָמ֖וֹן לֹ֣א תְבוּאָ֑ה גַּם־ זֶ֖ה הָֽבֶל׃
DRB 10 Celui qui aime l'argent n'est point rassasié par l'argent, et celui qui aime les richesses ne l'est pas par le revenu. Cela aussi est vanité.
MAR 10 Celui qui aime l'argent, n'est point assouvi par l'argent ; et celui qui aime un grand train, n'en est pas nourri ; cela aussi est une vanité.
S21 10 Quand les biens sont nombreux, ceux qui les mangent le sont aussi, et quel avantage en tire leur possesseur? Il ne peut que les voir de ses propres yeux!
VULC 10 Ubi multæ sunt opes,
multi et qui comedunt eas.
Et quid prodest possessori,
nisi quod cernit divitias oculis suis ?
WLC 10 בִּרְבוֹת֙ הַטּוֹבָ֔ה רַבּ֖וּ אוֹכְלֶ֑יהָ וּמַה־ כִּשְׁרוֹן֙ לִבְעָלֶ֔יהָ כִּ֖י אִם־ עֵינָֽיו׃
DRB 11 Avec l'augmentation des biens, ceux qui les mangent augmentent aussi ; et quel profit en a le maître, sauf qu'il les voit de ses yeux ?
MAR 11 Où il y a beaucoup de bien, là il y a beaucoup de gens qui le mangent ; et quel avantage en revient-il à son maître, sinon qu'il le voit de ses yeux ?
S21 11 Le sommeil du travailleur est doux, qu'il ait peu ou beaucoup à manger, tandis que la satiété dont jouit le riche ne le laisse pas dormir.
VULC 11 Dulcis est somnus operanti,
sive parum sive multum comedat ;
saturitas autem divitis non sinit eum dormire.]
WLC 11 מְתוּקָה֙ שְׁנַ֣ת הָעֹבֵ֔ד אִם־ מְעַ֥ט וְאִם־ הַרְבֵּ֖ה יֹאכֵ֑ל וְהַשָּׂבָע֙ לֶֽעָשִׁ֔יר אֵינֶ֛נּוּ מַנִּ֥יחַֽ ל֖וֹ לִישֽׁוֹן׃
DRB 12 Le sommeil est doux pour celui qui travaille, qu'il mange peu ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir.
MAR 12 Le dormir de celui qui laboure est doux, soit qu'il mange peu, ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse point dormir.
S21 12 Il y a un mal douloureux que j'ai vu sous le soleil: des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède.
VULC 12 [Est et alia infirmitas pessima quam vidi sub sole :
divitiæ conservatæ in malum domini sui.
WLC 12 יֵ֚שׁ רָעָ֣ה חוֹלָ֔ה רָאִ֖יתִי תַּ֣חַת הַשָּׁ֑מֶשׁ עֹ֛שֶׁר שָׁמ֥וּר לִבְעָלָ֖יו לְרָעָתֽוֹ׃
DRB 13 Il y a un mal douloureux que j'ai vu sous le soleil : les richesses sont conservées à leurs maîtres pour leur détriment,
MAR 13 Il y a un mal fâcheux que j'ai vu sous le soleil, c'est que des richesses sont conservées à leurs maîtres afin qu'ils en aient du mal.
S21 13 Si ces richesses disparaissent à cause d'une mauvaise affaire, il ne reste rien entre les mains de son fils.
VULC 13 Pereunt enim in afflictione pessima :
generavit filium qui in summa egestate erit.
WLC 13 וְאָבַ֛ד הָעֹ֥שֶׁר הַה֖וּא בְּעִנְיַ֣ן רָ֑ע וְהוֹלִ֣יד בֵּ֔ן וְאֵ֥ין בְּיָד֖וֹ מְאֽוּמָה׃
DRB 14 - ou ces richesses périssent par quelque circonstance malheureuse, et il a engendré un fils, et il n'a rien en sa main.
MAR 14 Et ces richesses-là périssent par quelque fâcheux accident, de sorte qu'on aura engendré un enfant, et il n'aura rien entre ses mains.
S21 14 Il est sorti nu du ventre de sa mère et il repart aussi nu qu'il était venu, sans rien pouvoir emporter de son travail avec lui.
VULC 14 Sicut egressus est nudus de utero matris suæ, sic revertetur,
et nihil auferet secum de labore suo.
WLC 14 כַּאֲשֶׁ֤ר יָצָא֙ מִבֶּ֣טֶן אִמּ֔וֹ עָר֛וֹם יָשׁ֥וּב לָלֶ֖כֶת כְּשֶׁבָּ֑א וּמְא֙וּמָה֙ לֹא־ יִשָּׂ֣א בַעֲמָל֔וֹ שֶׁיֹּלֵ֖ךְ בְּיָדֽוֹ׃
DRB 15 Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s'en retournera nu, s'en allant comme il est venu, et de son travail il n'emportera rien qu'il puisse prendre dans sa main.
MAR 15 Et comme il est sorti [nu] du ventre de sa mère, il s'en retournera nu, s'en allant comme il est venu, et il n'emportera rien de son travail auquel il a employé ses mains.
S21 15 Cela aussi, c'est un mal douloureux: il s'en va comme il était venu, et quel avantage a-t-il d'avoir travaillé pour du vent?
VULC 15 Miserabilis prorsus infirmitas :
quomodo venit, sic revertetur.
Quid ergo prodest ei quod laboravit in ventum ?
WLC 15 וְגַם־ זֹה֙ רָעָ֣ה חוֹלָ֔ה כָּל־ עֻמַּ֥ת שֶׁבָּ֖א כֵּ֣ן יֵלֵ֑ךְ וּמַה־ יִּתְר֣וֹן ל֔וֹ שֶֽׁיַּעֲמֹ֖ל לָרֽוּחַ׃
DRB 16 Et cela aussi est un mal douloureux, que, tout comme il est venu, ainsi il s'en va ; et quel profit a-t-il d'avoir travaillé pour le vent ?
MAR 16 Et c'[est] aussi un mal fâcheux, que comme il est venu, il s'en va de même ; et quel avantage a-t-il d'avoir travaillé après du vent ?
S21 16 De plus, toute sa vie il mange dans l'obscurité et il n'est pas épargné par le chagrin, la maladie et l'irritation.
VULC 16 cunctis diebus vitæ suæ comedit in tenebris,
et in curis multis, et in ærumna atque tristitia.]
WLC 16 גַּ֥ם כָּל־ יָמָ֖יו בַּחֹ֣שֶׁךְ יֹאכֵ֑ל וְכָעַ֥ס הַרְבֵּ֖ה וְחָלְי֥וֹ וָקָֽצֶף׃
DRB 17 Il mange aussi tous les jours de sa vie dans les ténèbres et se chagrine beaucoup, et est malade et irrité.
MAR 17 Il mange aussi tous les jours de sa vie en ténèbres, et se chagrine beaucoup, et son mal va jusqu'à la fureur.
S21 17 Voici ce que j'ai vu: il est bon et beau pour l'homme de manger et de boire et de prendre du plaisir dans le travail qu'il accomplit sous le soleil, pendant la durée de vie que Dieu lui accorde, car c'est sa part.
VULC 17 [Hoc itaque visum est mihi bonum,
ut comedat quis et bibat,
et fruatur lætitia ex labore suo
quo laboravit ipse sub sole,
numero dierum vitæ suæ
quos dedit ei Deus ;
et hæc est pars illius.
WLC 17 הִנֵּ֞ה אֲשֶׁר־ רָאִ֣יתִי אָ֗נִי ט֣וֹב אֲשֶׁר־ יָפֶ֣ה לֶֽאֶכוֹל־ וְ֠לִשְׁתּוֹת וְלִרְא֨וֹת טוֹבָ֜ה בְּכָל־ עֲמָל֣וֹ ׀ שֶׁיַּעֲמֹ֣ל תַּֽחַת־ הַשֶּׁ֗מֶשׁ מִסְפַּ֧ר יְמֵי־ אֲשֶׁר־ נָֽתַן־ ל֥וֹ הָאֱלֹהִ֖ים כִּי־ ה֥וּא חֶלְקֽוֹ׃
DRB 18 Voici ce que j'ai vu de bon et de beau : c'est de manger et de boire et de jouir* du bien-être dans tout le travail dont [l'homme] se tourmente sous le soleil tous les jours de sa vie, que Dieu lui a donnés ; car c'est là sa part.
MAR 18 Voilà [donc] ce que j'ai vu, que c'est une chose bonne et agréable [à l'homme], de manger et de boire, et de jouir du bien de tout son travail qu'il aura fait sous le soleil, durant les jours de sa vie, lesquels Dieu lui a donnés ; car c'est là sa portion.
S21 18 Et même, si un homme a reçu de Dieu des richesses et des biens, s'il lui a donné le pouvoir d'en manger, d'en prendre sa part et de se réjouir au milieu de son travail, c'est un cadeau de Dieu.
VULC 18 Et omni homini cui dedit Deus divitias atque substantiam,
potestatemque ei tribuit ut comedat ex eis,
et fruatur parte sua, et lætetur de labore suo :
hoc est donum Dei.
WLC 18 גַּ֣ם כָּֽל־ הָאָדָ֡ם אֲשֶׁ֣ר נָֽתַן־ ל֣וֹ הָאֱלֹהִים֩ עֹ֨שֶׁר וּנְכָסִ֜ים וְהִשְׁלִיט֨וֹ לֶאֱכֹ֤ל מִמֶּ֙נּוּ֙ וְלָשֵׂ֣את אֶת־ חֶלְק֔וֹ וְלִשְׂמֹ֖חַ בַּעֲמָל֑וֹ זֹ֕ה מַתַּ֥ת אֱלֹהִ֖ים הִֽיא׃
DRB 19 Et encore tout homme auquel Dieu donne de la richesse et des biens, et le pouvoir* d'en manger et d'en prendre sa part, et de se réjouir en son travail,… c'est là un don de Dieu ;
MAR 19 Aussi ce que Dieu donne de richesses et de biens à un homme, quel qu'il soit, [et] dont il le fait maître, pour en manger, et pour en prendre sa part, et pour se réjouir de son travail, c'est là un don de Dieu.
S21 19 En effet, il ne se souviendra pas beaucoup de la durée de sa vie, parce que Dieu l'occupe en déversant la joie dans son cœur.
VULC 19 Non enim satis recordabitur dierum vitæ suæ,
eo quod Deus occupet deliciis cor ejus.]
WLC 19 כִּ֚י לֹ֣א הַרְבֵּ֔ה יִזְכֹּ֖ר אֶת־ יְמֵ֣י חַיָּ֑יו כִּ֧י הָאֱלֹהִ֛ים מַעֲנֶ֖ה בְּשִׂמְחַ֥ת לִבּֽוֹ׃
DRB 20 car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie ; car Dieu lui a donné une réponse dans la joie de son cœur.
MAR 20 Car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie, parce que Dieu lui répond par la joie de son cœur.
La versification des traductions pouvant varier, l'alignement ne correspond parfois pas à la même phrase.
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