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Jean 11:25
(Annotée Neuchâtel)
Jean 11:25 Jésus lui dit : C'est moi qui suis la résurrection et la vie ; celui qui croit en moi, quand même il serait mort, vivra ;

Références croisées

11:25 Jn 5:21, Jn 6:39-40, Jn 6:44, Rm 5:17-19, Rm 8:11, 1Co 15:20-26, 1Co 15:43-57, 2Co 4:14, Ph 3:10, Ph 3:20, Ph 3:21, 1Th 4:14, Ap 20:5, Ap 20:10-15, Ap 21:4, Jn 1:4, Jn 5:26, Jn 6:35, Jn 14:6, Jn 14:19, Ps 36:9, Es 38:16, Ac 3:15, Rm 8:2, Col 3:3-4, 1Jn 1:1-2, 1Jn 5:11-12, Ap 22:1, Ap 22:17, Jn 3:36, Jb 19:25-27, Es 26:19, Lc 23:43, Rm 4:17, Rm 8:10-11, Rm 8:38, Rm 8:39, 1Co 15:18, 1Co 15:29, 2Co 5:1-8, Ph 1:23, 1Th 4:14, He 11:13-16
Réciproques : Dt 30:20, 1S 2:6, Ps 22:29, Ps 68:20, Ps 72:15, Ps 133:3, Ez 37:3, Ez 47:9, Os 14:7, Mt 9:18, Mc 5:35, Mc 16:16, Lc 7:14, Lc 8:50, Lc 15:24, Lc 20:38, Jn 2:19, Jn 3:15, Jn 5:19, Jn 5:28, Jn 5:40, Jn 6:27, Jn 6:50, Jn 6:57, Jn 8:18, Jn 8:51, Jn 10:28, Jn 11:44, Jn 17:2, Ac 2:28, Ac 16:31, Ac 17:28, Ac 26:23, Rm 4:11, Rm 5:10, 1Co 6:14, 1Co 15:13, 1Co 15:21, 1Co 15:45, 2Co 5:14, Ga 3:22, Ep 2:1, Col 1:18, 2Tm 1:10, He 6:2, He 7:8, 1P 2:4, 1Jn 4:9, Ap 20:12

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
Jean 11
  • 11.25 Jésus lui dit : C'est moi qui suis la résurrection et la vie ; celui qui croit en moi, quand même il serait mort, vivra ; Marthe n'ayant pas osé saisir la promesse de Jésus (verset 23) dans toute sa réalité actuelle, cherchait dans un avenir lointain la résurrection et ses consolations. (verset 24) Jésus la ramène au présent et à sa personne, en lui disant : C'est moi.
    Lui, en effet, est la résurrection, parce qu'il est la vie ; (Jean 14.6 ; Colossiens 3.4) il l'est en lui-même, et, dans ses rachetés, la résurrection ne sera que le dernier épanouissement de la vie impérissable qu'il leur a communiquée. (Comparer Jean 6.54, note.)
    Jésus fait immédiatement l'application de cette profonde vérité, en ajoutant que celui qui croit en lui, qui a puisé en lui la vie de la foi, quand même il serait mort comme Lazare, vivra d'une vie éternelle sur laquelle la mort n'a point d'empire.
    Après cette grande affirmation, Jésus exprime la même vérité d'une manière négative, pour ceux qui vivent encore sur cette terre : Quiconque vit et croit en moi, alors même qu'il subira la dissolution du corps, ne mourra jamais.
    Il y a ici une double négation qui signifie : ne mourra certainement jamais. C'est ainsi que traduit Rilliet.
    Tout pour Marthe, dépendait de sa foi au Sauveur, tel qu'il se révélait à elle. De là la question directe et pénétrante qu'il lui adresse : Crois-tu cela ?