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Philippiens 3:20
(Annotée Neuchâtel)
Philippiens 3:20 Car pour nous, notre bourgeoisie existe dans les cieux, d'où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ ;

Références croisées

3:20 Ph 1:18-21, Ps 16:11, Ps 17:15, Ps 73:24-26, Pr 15:24, Mt 6:19-21, Mt 19:21, Lc 12:21, Lc 12:32-34, Lc 14:14, 2Co 4:18, 2Co 5:1, 2Co 5:8, Ep 2:6, Ep 2:19, Col 1:5, Col 3:1-3, He 10:34-35, 1P 1:3-4, Es 26:1-2, Ga 4:26, Ep 2:19, He 12:22, Ap 21:10-27, Ac 1:11, 1Th 4:16, 2Th 1:7-8, Ap 1:7, Ph 1:10, 1Co 1:7, 1Th 1:10, 2Tm 4:8, Tt 2:13, He 9:28, 2P 3:12-14
Réciproques : 1S 8:20, Ps 84:10, Lc 12:34, Jn 6:39, Jn 11:25, Ac 5:31, Rm 8:23, 1Co 15:42, 1Co 15:43, 1Co 15:48, 2Co 5:6, Ph 4:1, 1Th 4:14, 2Th 3:5, He 11:10, He 11:16, He 13:14, 1P 1:15, 1P 3:2, 2P 3:11, 2P 3:14

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
Philippiens 3
  • 3.20 Car pour nous, notre bourgeoisie existe dans les cieux, d'où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ ; L'apôtre rattache la description de la vie chrétienne à ce qui précède, par cette particule car, comme motivant la profonde douleur que lui inspire la conduite de ceux qui n'ont d'affections que pour les choses de la terre.
    - Le mot traduit littéralement par bourgeoisie signifiait aussi chez les Grecs, en un sens dérivé, le genre de vie, la conduite, surtout dans les affaires publiques ; de la, dans nos vieilles versions, le mot de conversation (conduite).
    Le sens littéral est celui qui convient le mieux à la pensée de l'apôtre : tandis que les hommes dont il vient de parler ne pensent qu'aux "choses de la terre," le chrétien a ses pensées et ses affections dans les cieux, qui sont sa patrie, sa bourgeoisie.
    Etranger et voyageur ici-bas, dépris du monde et de ses avantages, tous ses désirs et toutes ses espérances tendent vers la possession pleine et entière de ces biens éternels dont il jouit déjà en partie par sa communion avec son Sauveur et son Dieu. Tout ce qui, sur la terre, est incompatible avec cette vie céleste vers laquelle il aspire, lui devient de plus en plus étranger. Aussi sa position actuelle est-elle un état d'attente, en vue du moment qui réalisera tous ses vœux. (Comparer 1Corinthiens 1.7 ; 2.13)
    Celui qu'il attend, c'est le Seigneur Jésus-Christ, à sa seconde venue, et il l'attend comme Sauveur (ou libérateur) de tout mal. (verset 21) Nos anciennes versions effacent cette nuance de la pensée. (Romains 8.19)