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Romains 8:28
(Annotée Neuchâtel)
Romains 8:28 Mais nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux. qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.

Références croisées

8:28 Rm 8:35-39, Rm 5:3-4, Gn 50:20, Dt 8:2-3, Dt 8:16, Ps 46:1-2, Jr 24:5-7, Za 13:9, 2Co 4:15-17, 2Co 5:1, Ph 1:19-23, 2Th 1:5-7, He 12:6-12, Jc 1:3-4, 1P 1:7-8, Ap 3:19, Rm 5:5, Ex 20:6, Dt 6:5, Ne 1:5, Ps 69:36, Mc 12:30, 1Co 2:9, Jc 1:12, Jc 2:5, 1Jn 4:10, 1Jn 4:19, 1Jn 5:2-3, Rm 8:30, Rm 1:6-7, Rm 9:11, Rm 9:23, Rm 9:24, Jr 51:29, Ac 13:48, Ga 1:15, Ep 1:9-10, Ep 3:11, 1Th 5:9, 2Th 2:13-14, 2Tm 2:19, 1P 5:10
Réciproques : Gn 42:36, Ex 1:12, Dt 5:10, Dt 7:9, Dt 10:12, Dt 30:6, Js 22:5, Js 23:11, Jg 5:31, 2S 16:12, 1R 3:3, Esd 8:22, Ps 5:11, Ps 20:4, Ps 25:10, Ps 91:14, Ps 97:10, Ps 103:17, Ps 119:175, Ps 121:7, Ps 138:8, Ps 145:20, Pr 12:21, Pr 19:23, Ct 2:4, Ct 8:7, Es 14:27, Es 48:12, Es 54:17, Es 56:6, Jr 32:40, Dn 2:30, Dn 9:4, Jl 2:32, Ml 3:6, Mt 18:14, Mt 24:24, Lc 12:32, Jn 5:24, Jn 6:39, Jn 15:2, Jn 16:7, Jn 17:6, Rm 8:32, Rm 11:7, 1Co 1:9, 1Co 1:24, 1Co 3:21, 1Co 8:3, 1Co 10:13, 2Co 1:6, Ep 1:4, Ep 1:18, Ep 4:1, Ph 1:6, Ph 1:12, Ph 3:14, 1Th 1:4, 2Th 3:5, 1Tm 4:8, 1Tm 6:6, 1Tm 6:12, 2Tm 1:9, He 3:1, He 6:19, He 9:15, 1P 1:15, 1P 3:9, 1P 3:13, 2P 1:3, 2P 1:10

Notes de la Bible Annotée Neuchâtel

A savoir : les notes ne font PAS partie du texte biblique. Plus d'informations
Romains 8
  • 8.28 Mais nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux. qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. La mention de l'Esprit qui vient au secours de notre faiblesse (v. 26, 27) a servi de transition entre la description du soupir universel, résultant des "souffrances du temps présent," (versets 18-25) et celle de la glorification finale, que l'apôtre aborde maintenant pour l'opposer à la première.
    Nous souffrons, nous soupirons,...mais nous savons que toutes choses concourent au bien de (grec en bien à) ceux qui aiment Dieu.
    Toutes choses, toutes les créatures de Dieu qui ont en lui "la vie, le mouvement et l'être," tous les événements, dont aucun ne se produit sans qu'il le permette, concourent (grec travaillent ensemble) à un même but : le bien de ceux qui aiment Dieu.
    Le mal même n'est pas excepté, car, soit le mal moral, soit le mal physique, tout reste soumis à la volonté de Dieu qui par des voies mystérieuses, poursuit l'accomplissement de ses desseins de miséricorde et opère le salut, le bonheur éternel de ses enfants. (versets 29,30)
    Exemples : l'histoire de Joseph, le rôle du peuple juif et de Judas dans la mort de Jésus.
    Les jugements de Dieu les plus sévères et les plus terribles, quoiqu'ils soient en euxmêmes des châtiments du péché, peuvent être convertis en bénédictions pour celui qui s'humilie sous les coups de la justice divine et apprend à aimer Dieu. Alors le châtiment devient un moyen de grâce.
    Il faut insister sur ce complément : (grec) à ceux qui aiment Dieu, dans l'original, il est placé en tête de la proposition, et par là mis en relief. Il exprime l'indispensable condition morale que l'homme doit remplir pour avoir l'assurance que toutes choses concourent à son bien.
    Tant qu'il n'est pas amené à cette fin de son être : aimer Dieu, il ne peut s'appliquer cette consolante vérité. Toutes choses, au contraire, doivent concourir au mal de celui qui refuse obstinément son cœur à Dieu.
    - Mais qui sont "ceux qui aiment Dieu ?" Ce sont ceux (grec) qui sont des appelés selon le dessein de Dieu. En effet, les grâces dont ils jouissent, les bons sentiments qui remplissent leur cœur, leur amour pour Dieu, tout cela repose sur la grâce de Dieu qui les a appelés selon son dessein éternel.
    Le mot grec exprime l'idée d'un dessein arrêté à l'avance ; suivant les uns, avant le moment de l'appel, suivant les autres, avant le temps, éternellement. Cette dernière explication est plus conforme à la pensée de l'apôtre. (Ephésiens 1.3-10 ; 3.11 ; 1Corinthiens 2.7)
    L'appel de Dieu ne se borne pas à une invitation extérieure par l'Evangile, il est une œuvre intérieure de la grâce, qui attire l'homme et l'amène à la foi. (Romains 1.6, note ; Romains 9.11 ; Ephésiens 1.11 ; 2Timothée 1.9, etc.).